Une safe zone pour vous protéger au Club France
Engagé dans la lutte contre toutes les formes de violences, le CNOSF met en place une safe zone créée par l'association Act Right au sein de la Grande Halle du Parc de la Villette.
Qu’est-ce qu’une safe zone ?
Une safe zone, c'est un lieu où chaque personne peut se réfugier si elle a été victime ou risque fortement d’être victime d’injures, de harcèlement ou d’agressions à caractère sexuel, sexiste, raciste, homophobe, grossophobe, validiste etc.
L’objectif est de mettre les victimes et les potentielles victimes en sécurité tout en leur permettant de rester au sein du Club France.
La safe zone réalise 3 missions principales :
- Accueillir les personnes dans le besoin pour réaliser un premier accueil de la parole.
- Informer les victimes sur leurs droits.
- Etablir le lien avec les autres parties prenantes : Croix-Rouge, sécurité, CNOSF.
Qui gèrera la safe zone au Club France ?
La safe zone sera gérée par l’association Act Right expérimentée dans la gestion des zones refuge dans les lieux festifs comme les concerts et les festivals.
Logo Actright.
©Où se situe-t-elle et quand est-elle ouverte ?
La safe zone se situe dans la Grande Halle côté est, à proximité de la scène. Un stand vous accueillera dans un premier temps avant de vous rediriger vers le bureau à part et au calme.
Carte des safe zones du Club France
©Elle sera ouverte tous les jours durant la période olympique de 18h à 2h du matin. Si vous vous trouvez en situation de détresse avant son ouverture, le stand de la Croix-Rouge sera également une zone de protection.
Qui peut s’y rendre ?
Tout le monde peut se rendre à la safe zone quel que soit son statut : spectateur, volontaire, salarié, journaliste, partenaire, invité, athlète etc. Tout le monde est légitime à demander de l’aide en cas de danger.
Quelle confidentialité ?
Les échanges au sein de la safe zone restent confidentiels. Les organisateurs ne sont tenus au courant que de la nature et de la fréquence des faits rapportés à l’association mais pas de l’identité des personnes s’y rendant. S’il s’avère utile que l’organisateur soit tenu informé de l’identité et des coordonnées d’une victime pour l’aider, cet anonymat ne sera levé qu’avec le consentement de la personne concernée.
